« Vous avez fait un stage de survie ? Genre comme à la télé avec rien et au milieu de nul part à manger des insectes ? » C’est la réaction fréquente que nous avons lorsque nous disons autour de nous que nous avons fait un stage de survie de 5 jours en pleine nature. Le tableau est d’ailleurs plutôt proche de la réalité à peu de choses près : le stage de survie nous donne les armes pour être ensuite capable d’être entièrement autonome en milieu naturel. Nous ne savions pas trop à quoi nous attendre en nous lançant dans cette aventure mais nous avions une certitude : l’aventure promettait d’être enrichissante et de nous sortir de notre zone de confort ! Et ça, on adore !
Allez, on vous embarque dans notre aventure de 5 jours de survie dans le massif du Pilat, près de Saint-Etienne, avec Alpha Survie ! Lisez bien jusqu’au bout, nous avons une surprise pour vous à la fin de l’article ! 😉
- Apprendre les bases de la survie et suivre le P.L.A.N.
- Faire du feu par tous les moyens pour survivre
- Se construire un abri pour la nuit : avec bâche ou au naturel
- Trouver de l’eau et la rendre consommable
- Reconnaître les plantes sauvages comestibles et médicinales
- Savoir s’orienter et se localiser à partir d’une carte ou avec la nature
- Premiers secours : comment réagir en cas de traumatisme
- « L’adaptage » ou l’art de s’adapter dans toutes les situations
- Notre avis sur ce stage de survie proposé par Alpha Survie
- Pourquoi apprendre les techniques de survie ?
- Alpha Survie, c’est quoi et quels stages proposent-ils ?
Apprendre les bases de la survie et suivre le P.L.A.N.
Habituées à randonner et à bivouaquer dans la nature, nous ne nous sommes jamais vraiment posées la question de comment réagir et quoi faire si nous nous retrouvions en danger, perdues ou bloquées quelque part. Nous avons bien entendu les bases de la sécurité qui commencent par toujours prévenir une personne d’où on part et où l’on va, avoir une trousse de secours avec nous, bien gérer notre eau, ne pas camper n’importe où, etc.
Et puis, il faut dire qu’en France nous avons la chance d’avoir un nombre incalculable de sentiers bien balisés. Il est donc difficile de se perdre sauf conditions particulières. En revanche, ce n’est pas forcément le cas à l’étranger. On n’y pense pas non plus mais nous ne sommes jamais à l’abri d’un accident, d’une météo qui tourne mal et qui nous met dans une situation à risque, etc.
C’est encadrées de Dany, notre formateur, et en compagnie de deux autres aventuriers comme nous que nous avons passé nos 5 jours de stage au camp d’Alpha Survie, au milieu de la nature dans le Massif du Pilat, dans le département de la Loire. On peut dire que nous étions entre de bonnes mains. Dany baigne dans le milieu du survivalisme, de la nature, de la biologie, de l’autonomie, et bien plus encore, depuis de très nombreuses années.
Nous commençons le stage par apprendre l’ordre des priorités à gérer si nous nous retrouvions en condition de survie et voir les points importants qui entrent en compte pour tenir le coup et s’en sortir. Et bizarrement, ce n’est pas le matériel qu’on a qui sera notre premier allier mais avant tout les connaissances ! Avoir du beau matos dernier cri ne nous sauvera pas si nous ne savons pas comment l’utiliser et si nous ne savons pas ce qu’il est primordiale de faire pour se sortir du pétrin.
Pour cela, Dany nous apporte une méthode facile à retenir à travers le P.L.A.N. Chaque lettre du P.L.A.N. faisant référence à des actions à mettre en place par ordre de priorité. Bien sûr, nous n’allons pas nous pencher plus que ça sur ces points du P.L.A.N., à vous de le découvrir le jour où vous irez faire un stage de survie avec Alpha Survie.
Une fois ces bases en place, Dany nous fait vider nos sacs pour faire le point sur notre matériel et nous énumère 5 catégories de matériel qu’il faut de préférence toujours avoir avec soi. Les 5 C !
À partir de là, l’aventure commence. Dany nous annonce que pour les prochains jours, nous ne pouvons plus utiliser notre équipement complet. Chacun des quatre personnes du groupe ne doit garder qu’une (ou deux) des cinq catégories de matériel. Candie gardera ses contenants (bouteilles, bidons, gobelets, casseroles, etc.) et chauffants (pierre-feu, briquet et allumettes) et moi mes couvrants (bâche, poncho, etc.). Nos compagnons d’aventure ont respectivement gardé leurs coupants et leurs cordages.
Nous voilà en situation.
Faire du feu par tous les moyens pour survivre
L’étape suivante est d’apprendre à faire un feu. Une étape cruciale puisque celui-ci sert aussi bien à se signaler pour alerter les secours qu’à se maintenir au chaud, à cuire sa nourriture ou à stériliser son eau.
Ce module faisait partie de ceux que nous voulions voir tout particulièrement car à part allumer un réchaud à gaz avec un briquet, nous ne maîtrisions pas vraiment l’art d’allumer un feu.
Avec nos outils modernes, c’est presque trop facile. Un coup de briquet et c’est parti. Mais comment faites-vous si vous perdez ou oubliez ce fameux briquet ou que vos allumettes ont pris l’humidité ? Et bien nous avons appris à allumer un feu avec la pierre à feu, le silex (comme nos ancêtres trèèès lointains) ou encore par friction (vous savez la fameuse technique de faire tourner un bout de bois très vite tel un Robinson Crusoé. Qu’est-ce qu’on en a bavé sur cette technique !! C’est plus facile dans les films ! ahah 😅).
Attention avec le feu ! Dans la grande majorité des cas, il est interdit de faire un feu de camp dans un milieu naturel. C’est trop dangereux pour la nature environnante, un feu mal maîtrisé peu vite dégénérer. Les techniques apprises sont donc à utiliser qu’en dernier recours en cas de danger et en prenant toutes les précautions nécessaires. Ce n’est pas un jeu.
Se construire un abri pour la nuit : avec bâche ou au naturel
Nous avons ensuite appris les différentes techniques pour se construire un abri pour le soir avec une simple bâche et les éléments naturels qui nous entoure. Dany nous a également montré différents nœuds utiles à connaître pour accrocher son abris, fabriquer un piège ou pour tout autre besoin. Le nœud de huit, un grand classique, le nœud cabestan et bien d’autres encore ! Ça a rappelé des souvenirs d’enfance à Enora qui en avait appris certains étant petite mais sans pratiquer ça s’oublie vite.
Nous n’avions encore jamais eu l’occasion de dormir dehors en pleine nature mise à part en tente. Il faut dire qu’Enora appréhendait un peu cette partie, elle qui n’est pas très à l’aise avec les petites bêtes 😅. Au final, nous nous sommes très bien adaptées et nous avons super bien dormi dans nos différents abris. C’est même une fierté d’avoir réussi à affronter ses peurs et se rendre compte qu’on est capable de bien plus qu’on ne le pense. Pour une sortie de sa zone de confort et le dépassement de ses limites, l’abri de fortune en pleine nature aura été un beau pas en avant ! 🙂
Pendant les cinq jours, nous avons été amené à changer trois fois d’abri pour nous mettre en condition et pratiquer le plus possible. Pour les trois premières nuits, nous avions le droit à nos bâches. En revanche, pour la dernière nuit, Dany nous a mis en situation réelle de survie. Nous n’avions donc plus le droit à rien à part notre sac de couchage et une seule bâche pour notre groupe de quatre. Pas de problème, on s’adapte ! Même si la météo nous menaçait d’un orage pile ce soir-là (par chance il n’a plu qu’un peu en fin d’après-midi).
Stage de survie – Notre troisième abris en cours de montage
Trouver de l’eau et la rendre consommable
L’eau fait partie des éléments cruciaux pour survivre. En randonnée, on ne répète jamais assez de faire attention à bien gérer ses réserves d’eau. Nous connaissions déjà quelques techniques pour trouver et consommer de l’eau dans la nature lors de nos treks.
Nous avons pour autant appris d’autres astuces qui peuvent se révéler bien pratique ! Nous avions prévu quelques litres d’eau avec nous pour le début du stage mais ensuite nous devions nous débrouiller pour trouver et filtrer l’eau pour notre consommation.
Reconnaître les plantes sauvages comestibles et médicinales
Ce module des plantes sauvages nous intéressait énormément ! Quel plaisir d’être capable de reconnaître les plantes comestibles et médicinales qui se trouvent autour de nous dans la nature ! Il y en a bien plus qu’on ne le pense. Le plus dur ensuite, c’est de tout retenir. 🙂 Dany nous a baladé à travers la forêt pour nous faire découvrir toutes ces plantes et nous raconter leurs petits secrets.
Nous en avons testé plusieurs pendant les repas : soupe d’orties, lichen, oxalis, sapin et tant d’autres. De belles découvertes, pour certaines surprenantes !
Maintenant, nous n’avons qu’une envie, continuer de pratiquer et d’apprendre sur ce sujet !
Savoir s’orienter et se localiser à partir d’une carte ou avec la nature
C’est facile de s’orienter quand on suit un balisage bien tracé, une trace GPX sur son smartphone ou encore avec le GPS. Mais quand nous n’avons rien de tout ça et que nous sommes au milieu de la nature, et bien il faut être capable de se débrouiller autrement !
Ça passe notamment par savoir lire une carte topographique et utiliser une boussole, ce que nous n’avions encore jamais vraiment pris le temps de bien apprendre jusque-là. Pourtant, c’est tellement pratique pour la randonnée ! Au delà du dénivelé, une carte IGN permet de trouver des points d’eau, de trouver la bonne direction, de repérer différents types de sentiers et bien plus encore ! Une vraie mine d’information qui ne risque pas de tomber en panne de batterie !
Dany donne d’ailleurs plein de petites astuces d’usage bien pratique.
C’est aussi à partir de la carte qu’on a appris à se localisation par triangulation.
Nous sommes de vraies pro de la carto et de la boussole maintenant ! 🙂 Notre prochain défi que nous nous sommes lancé : faire une rando à la journée tracé par nos soins avec la carte et nous diriger qu’avec la boussole. Challenge accepté !
Premiers secours : comment réagir en cas de traumatisme
On n’y pense pas forcément mais connaître les gestes de premiers secours est tellement important dans la vie de tous les jours ! Nous avons toutes les deux fait des formations différentes en premiers secours dans le passé, Candie l’AFPS (Formation de Base aux Premiers Secours), qui n’existe plus aujourd’hui, remplacé par PSC1 (prévention et secours civiques » de niveau 1) et Enora le SST (Sauveteur Secouriste du Travail). Pour autant, il a été très intéressant de revoir les bases avec Dany. C’est là qu’on a réalisé que faire des mises à niveau de ce genre de formation est vraiment important pour garder les bons réflexes, mais aussi pour ce mettre à jour sur les pratiques de premiers secours qui évoluent et changent très vite.
Dans ce module, Dany élabore sur la gestion des traumatismes (hémorragie, fracture, intoxication, etc.). Il nous montre l’équipement médic qu’il a toujours avec lui, ce qu’il recommande et il nous montre tous les bons gestes et réflexes à avoir.
Une fois la théorie faite, place à la pratique ! Chacun notre tour, nous sommes mis en situation avec des scénarios que nous ne connaissons pas à l’avance. C’est l’idéal pour mettre en pratique sans préparation, sans savoir sur quel type de traumatisme on va tomber et avec la petite pointe de stress. De cette façon, on peut rapidement voir les points à travailler et se sentir prêt et un peu plus confiant.e.s si par malheur nous devions réellement nous retrouver face à ce type de situation dans le futur.
« L’adaptage » ou l’art de s’adapter dans toutes les situations
Ce qui revient très souvent tout au long de ce stage, c’est notre capacité à nous adapter dans toutes les circonstances. Comment faire avec ce que la nature nous offre si nous perdons notre sac avec tout notre équipement. Comment improviser des contenants pour manger. Comment se fabriquer des outils, des cordes ou tout autre objet nécessaire.
Les formateurs d’Alpha Survie réussissent très bien à nous amener progressivement à nous débrouiller et à nous adapter durant les 5 jours. Nous avons particulièrement apprécié le fait que les transitions vers un maximum d’autonomie et d’indépendance se fasse en douceur et sans y aller brusquement dès le premier jours.
Dany s’adapte vraiment au groupe, au niveau et aux envies de chacun. Ça fait partie des manières de fonctionner d’Alpha Survie et c’est top !
Comme on l’a rapidement évoqué précédemment, nous avons d’abord passé les trois premiers jours du stage à apprendre le maximum des piliers de la survie tout en commençant à devoir nous adapter avec moins de matériel que prévu. Dany nous ayant restreint dès le premier jour pour nous mettre un minimum en condition.
Les deux derniers jours sont ensuite sous le signe de l’autonomie. Dany, nous impose de retirer encore un peu plus de matériel. L’objectif étant qu’on se teste en situation réelle et qu’on mette en pratique ce que nous avons appris les jours précédents.
Notre avis sur ce stage de survie proposé par Alpha Survie
Nous avons absolument adoré ce stage de cinq jour ! Nous avons appris énormément de choses et nous en ressortons bien plus confiantes pour appréhender nos futurs randonnées et treks en pleine nature ! Dany et Vanessa, les deux formateurs de l’équipe Alpha Survie, maîtrisent vraiment bien leur sujet et sont passionnants. Ils ont une super énergie. On a aussi eu la chance de tomber sur deux partenaires de stage au top ! Avoir une bonne cohésion de groupe avec de l’entraide et une bonne tranche de rigolade, c’est hyper important et on a été servies ! 🙂
Pour l’anecdote, la veille de faire le stage nous avons fait deux jours de randonnée dans le Massif du Pilat avec nuit en bivouac dans la forêt. Nous avons eu la surprise d’être réveillées en sursaut en pleine nuit à plusieurs reprises par un animal qui courait et respirait fort autour de notre tente puis qui « aboyait » à tue-tête à travers la forêt puis enfin qui broutait gentiment à deux pas de notre tente. Il ne nous en fallait pas plus pour faire travailler notre imagination et accentuer notre peur (complètement démesurée et irrationnelle soit dit en passant 😅). Nous avons donc très peu dormi cette nuit-là et avions hâte que le jour se lève.
Pendant le stage, nous avons appris que des chevreuils passaient parfois au milieu du camp. Ce qui a été le cas à deux reprises les nuits où nous étions là. Nous avons ainsi pu faire le lien avec les bruits entendus lors de notre « terrible » nuit de bivouac et définir que ce n’était au final qu’un (ou plusieurs) gentil(s) chevreuil(s) qui nous avai(en)t terrorisées… Nous savons d’ailleurs maintenant que le chevreuil pousse un cri très ressemblant à l’aboiement du chien. C’est pour ça qu’on dit que le chevreuil aboie.
Voilà, c’était la minute peur irrationnelle et culture.
Pourquoi apprendre les techniques de survie ?
On peut penser que les stages de survie sont fait pour les aventuriers, ces gens qui n’ont peur de rien, qui sont un peu casse-cou et qui aiment les conditions extrêmes.
Et pourtant, les stages de survie s’adressent aux gens qui ont envie de se sentir plus en confiance dans la nature et qui veulent gagner en autonomie. Pour ça, pas besoin d’être le dernier Mike Horn pour se lancer, bien au contraire. Ces stages permettent de mieux comprendre et connaître la nature qui nous entoure, de pouvoir se reconnecter à elle et d’apprendre ou de développer ses sens de l’adaptation et de la débrouillardise si précieux.
On recommande vivement ce type de stage pour les randonneurs comme nous, peu importe votre niveau. On n’est jamais à l’abri d’un aléa sur les sentiers. Personnellement, on a appris tout un tas de choses qui nous seront bien utiles dans notre pratique. Pour ceux qui ont peur et ne sont pas à l’aise à se lancer sur les sentiers ou à bivouaquer, un stage de survie sera un super moyen de vous mettre en confiance tout en étant encadré.
C’est aussi complètement approprié si vous êtes un voyageur baroudeur, comme nous aussi. À l’étranger, la barrière de la langue peut parfois compliquer les choses. Le fait d’avoir de bonnes bases en adaptation et en survie permet d’être capable de se sortir de bien des situations.
Vous pouvez également tout simplement vouloir vous lancer un défi à travers ce stage et tester vos limites de manière sécurisée.
En fait, on peut avoir tout un tas de raisons de vouloir faire un stage de survie. Quelles qu’elles soient, vous deviendrez forcément une meilleure version de vous même à la sortie du stage. Et c’est ça qui compte !
Alpha Survie, c’est quoi et quels stages proposent-ils ?
Alpha Survie, c’est une entreprise tenue par Dany et Vanessa, tout deux formateurs en survie en milieux hostiles et reculés.
Leurs parcours de vie respectifs et leurs expériences passées en font des formateurs hyper calés sur leur sujet et super intéressants. On sent rapidement qu’ils sont passionnés par ce qu’ils nous partagent.
Ils proposent différents formats de stages accessibles pour tous les niveaux, du débutant à l’expert, et même pour les familles !
- Stage de survie de 1, 2 ou 5 jours (on a fait le stage de 5 jours)
- Stage de survie famille 3 jours
- Stage Bushcraft 5 jours
- Stage Commando 3 jours
- Stage botanique 1/2 journée
- Stage grand-froid 2 jours
- Stage sur-mesure – team building – EVG/EVJF
Si l’envie de vous dépasser et sortir de votre zone de confort vous titille, que vous cherchez à vous sentir plus en confiance quand vous partez en randonnée ou que vous souhaitiez simplement mieux appréhender la nature et être autonome dans vos petites ou grandes aventures, nous sommes persuadées que l’un de ces stages vous plaira ! 😃
Et si vous avez une personne de votre entourage à qui ce type d’expérience pourrait faire plaisir, sachez qu’Alpha Survie propose des bons cadeaux à offrir ! Une idée originale de cadeau à faire !
En plus, nous vous avons dégoté une belle réduction de -20% avec le code GEONAUTRICES-20 valable sur n’importe quel stage d’Alpha Survie ! Regardez les dates des prochains stages sur le site d’Alpha Survie et contactez-les directement par email (contact@alphasurvie.com) pour bénéficier de la réduction.
- Informations pratiques
- Adresse : Alpha Survie, Massif du Pilat (département de la Loire, Région Auvergne-Rhône-Alpes) – le lieu exacte varie en fonction du camp de base. Nous étions pour notre part dans la forêt sur la commune de Saint-Sauveur-en-Rue.
- Tarifs et dates des stages : voir le site web
Ce stage de survie a été une magnifique expérience ! Entre dépassement de soi et apprentissage pour être plus sereines et réellement autonomes dans nos aventures, on en redemande ! 🙂
On remercie grandement Dany et Vanessa pour leur accueil, leur partage et leurs bonnes ondes !
Ce stage est le fruit d’un partenariat avec Alpha Survie. Nous restons pour autant libres et sincères dans nos propos et retour d’expérience livrés dans cet article.
- Un peu de lecture sur le sujet de la survie ?
Pour avoir un avant-goût des techniques de survie, vous avez plusieurs bouquins qui existent sur le sujet. Ça permet d’acquérir quelques notions clés même si rien ne vaut un stage en situation réelle et de la mise en pratique pour vraiment assimiler les connaissances.
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Ouahhh Je suis hyper impressionnée. Ça a du être une expérience super enrichissante. Ça me rapelle le film « les combattants » avec Adèle Haenel.
J’ai aussi fait un stage de survie mais pour la mer dans le cadre d’une mission d’exploration pétrolière. Le BOSIET avec les marins pompiers de Marseille…. Un grand moment de trouille étant donné ma peur de l’eau…
Il faut savoir sortir de sa zone de confort.
Superbe article qui donne envie de se jeter « dans le bain »
Oui ça a vraiment été une expérience enrichissante ! C’est un peu ça par rapport au film Les Combattants ahah !
Ça a dû être une sacrée expérience le stage en mer aussi ! Je suis encore moins à l’aise sur/dans l’eau alors j’ose imaginer ta trouille !
C’est exactement ça, oser sortir de sa zone de confort pour dépasser ses limites et ainsi agrandir sa zone de confort petit à petit.
Merci pour ton passage par ici !
Bravo Enora ! Honnêtement, je ne me sens pas tout à fait capable de ce genre de choses 😮
Sait-on jamais, un jour, ça peut sauver la vie d’en savoir autant sur la nature et la survie 🙂
Merci !
C’est toujours bon de mieux connaître la nature qui nous entoure et y être à l’aise, sans pour autant aller jusqu’à être dégoûté de l’expérience c’est sûr.
Je comprend que tout le monde ne soit pas à l’aise avec ce type d’expérience. Moi-même j’appréhendais un peu avant de le faire et au final j’ai adoré !
Un jour peut-être pour toi ! Ne serait-ce que pour le challenge sur une durée plus courte.
Super stage! J’adorera apprendre toutes ces bases, ça peut toujours servir!
Je ne peux que te recommander de faire un stage de ce genre ! C’est toujours bon de connaître les basiques. 🙂
Ça fait un moment que je me dis que j’aimerais bien essayer, mais franchir le pas est une autre chose 😀 Vous m’impressionnez ! Je suis de temps en temps des ateliers sur les plantes médicinales et comestibles mais moi aussi j’aimerais approfondir mes connaissances dans ce domaine, car on est entourées de plantes comestibles qu’on néglige trop.
C’est un sujet tellement intéressant les plantes quand on commence à s’y intéresser ! On connait finalement tellement mal ce qui nous entoure.
Je te comprend pour le fait de ne pas oser franchir le pas pour faire un stage de ce type. 🙂 Peut-être que commencer par un stage de 2 jours te permettrait de commencer en douceur et de te mettre plus en confiance.;)
Quelle aventure ! J’avais vu vos photos passer sur Insta et c’est vrai que ça donne envie ! Je ne sais pas si je tiendrai le coup pendant 5 jours, mais c’est clair que c’est une expérience à vivre 🙂 !
On ne savait pas si on allait tenir 5 jours non plus, mais c’est passé super vite et c’était très fluide avec une belle mise en confiance par les formateurs. Et on avait une bonne équipe sur place, ça aide vraiment !!